Chaque semaine, Julien de Héricourt, Charles Bertrand, Jean-Baptiste Guérin et Etienne Morant se réunissaient pour échanger sur l’histoire et l’art littéraire.
Grâce à sa renommée, la société devint l’Académie Royale de Soissons par lettres patentes en juin 1674 et s’intitula « la fille ainée de l’Académie française ». Elle prit pour protecteur un membre de l’Académie française, le cardinal César d’Estrées.
L’Académie de Soissons contribua à mettre en valeur la langue française en proposant des concours littéraires et en produisant des ouvrages. Elle disparut à la Révolution française.
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